La deuxième vie de la malle
Par un jour ensoleillé, quoi de mieux que de faire un tour au troc et puce du coin ?
Grande-belle-soeur et moi nous armons de bonne humeur à l'idée de faire des bonnes affaires (sans aucune idée préconsue en partant...) et parcourons ce joyeux bazar.
"Tiens, des bodies pas chers pour Petite Nièce... oh ! un rouleau à pâtisserie (j'enavaisjustementpas et j'enaimarred'étalermapâteaveclesdoigts)... et des romans policiers, allez ma p'tite dame c'est 50 centimes le livre, oui bon, d'accord... et ce p'tit lit de poupée là, Monsieur ? 300 euros, c du XIXe siècle... euh, j'en ai pas besoin."
Et là... apparue devant mes yeux par miracle, LA malle de voyage de mes rêves, celle qui ferait bien la malle aux tissus dans la maison, un fourre-tout idéal pour cacher tout mon bazar...
Je ne vous ai pas dit que j'avais un faible (très fort) pour tout ce qui a vécu... et là j'ai décroché le gros lot : une malle fin XIXe siècle, avec l'étiquette du fabricant, et le gars me la fait à... pas trop cher.
De retour à la maison, à force de l'inspecter pour évaluer le travail de restauration, je prends conscience que la malle de mes rêves est... en assez mauvais état (trous, humidité, rouille...). Y'a du boulot !!
Heureusement, j'ai en stock la Bible de la restauration de malle :
Rendez-vous dans quelques temps pour voir l'avancée du relooking !